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Programme

MATIN

Modératrice : Elena Phalet, Collaboratrice scientifique au Service d’Information Scientifique et Technique, Bruxelles

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), représenté par Frédéric Lemmers,

et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2012


LES RÈGLES ACTUELLES SUR LE DROIT D’AUTEUR ET LE DÉFI NUMÉRIQUE

par Pierre-Yves Andrau, legal officer European Commission, DG Internal Market, Copyright Unit, Brussels

L’amélioration du cadre juridique actuel entend répondre au défi numérique qui se caractérise par une convergence accrue des différents supports et plateformes contribuant ainsi à une distribution des contenus instantanée et globale. La Commission européenne développe une stratégie en faveur du droit d’auteur afin de favoriser la créativité et le marché intérieur numérique.


DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS RELATIFS AUX DROITS D’AUTEUR – UNE PRÉSENTATION GÉNÉRALE  

par Fabienne Brison, advocaat, partner Hoyng Monegier LLP, professor VUB en HUB, Brussel

Une présentation générale de la situation actuelle et des développements récents les plus pertinents dans la législation européenne et (surtout) la jurisprudence relative au droit d’auteur comme introduction au cadre général pour les sujets particuliers qui seront ensuite traités.

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PAUSE


WEB 2.0 : NOUVEAUX USAGES, NOUVEAUX DROITS ?

par Michèle Battisti, veille juridique, Association des professionnels de l’information et de la documentation (ADBS), Paris (France)

Révision drastique ou simple évolution du droit ?  La question s’impose à l’heure où s’estompent les frontières entre les sphères privée et publique, les usages professionnels et non professionnels ou encore le jeu actif et passif des acteurs, remettant ainsi en question les qualifications juridiques traditionnelles. Comment réguler les tensions, particulièrement fortes en ce moment, entre la diffusion des connaissances et les modèles d’affaires, la liberté d’expression et les limites à apporter à certaines dérives ? Lois, contrats, usages : toute une panoplie de ressources juridiques peut être déployée pour faire émerger un droit 2.0 adapté à ce nouvel environnement.

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BIBLIOTHÈQUES, CENTRES DE DOCUMENTATION, ARCHIVES ET LEURS COLLECTIONS : QUELQUES PROBLÈMES PATRIMONIAUX

par Bert Demarsin, vice-decaan Faculteit Rechten HUBrussel, geaffilieerd onderzoeker KULeuven, coördinator Art Law & Management Research Programme, Leuven

Les bibliothèques, centres de documentation et archives ne doivent pas uniquement tenir compte de problèmes de propriété intellectuelle, mais de plus en plus des questions de pur droit de la propriété se présentent.  C’est ainsi que se pose la question des droits patrimoniaux des pièces de collection.  Dans son prolongement, on peut également se poser la question de la mesure dans laquelle d’autres personnes peuvent faire valoir des revendications, telles les auteurs, leurs héritiers, les personnes représentées dans certaines œuvres ou les objets qu’ils ont créés.  Enfin, Il faut trouver une réponse à la question de savoir comment l’on peut, en tant qu’institution réceptrice d’une collection, s’assurer contre cela de manière adéquate.

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LUNCH


APRÈS-MIDI

Modérateur : Philippe Laurent, coordinateur Echosdoc, Bruxelles

REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

Lauréate : Joëlle Sallets (Master en sciences et technologies de l’information et de la communication de l’ULB)

Titre du mémoire présenté : La problématique des adresses spatiales dans les bases de données administratives.


LES OEUVRES ORPHELINES : VERS UNE SOLUTION EUROPÉENNE ?

par Joris Deene, advocaat Everest, gastdocent UGent, SA&S, Gent

Le 24 mai 2011, la Commission européenne a déposé une proposition de directive relative à certaines utilisations autorisées d’œuvres orphelines. Une deuxième version du projet a été publiée le 12 février 2012, et une troisième est en préparation. La Commission européenne veut ainsi créer une sécurité juridique pour les organisations culturelles dans le cadre de projets de numérisation et d’ouverture. La proposition se base sur une recherche soigneuse des ayants-droit et sur une reconnaissance réciproque des solutions nationales pour les œuvres orphelines. Pendant cette présentation, on débattra du contexte et du contenu de la proposition de directive. Sur base des textes examinés, on peut déjà conclure que cette proposition présente un déficit tant par sa portée que par son contenu.

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PAUSE


15 ANS PLUS TARD : LE DROIT D’AUTEUR ET LE DROIT SUI GENERIS SUR LES BASES DE DONNÉES : SUCCÈS OU ÉCHEC

par Estelle Derclaye, associate professor, Faculty of Law, University Park Nottingham (UK)

L’exposé débutera par une présentation du droit d’auteur et sui generis sur les bases de données y compris les décisions de la Cour de justice de l’Union européenne et des juridictions belges les plus récentes. Il critiquera ensuite la directive sur les bases de données et les décisions qui l’ont interprétée depuis l’adoption de la directive en 1996.

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ÉDITEURS ET BIBLIOTHÉCAIRES : UN DESTIN NUMÉRIQUE COMMUN OU NON ?

par Anne Bergman-Tahon, director of the Federation of European Publishers, Brussels

Dans l’environnement numérique, tout est appelé à être modifié, renouvelé et en même temps, les rôles de l’éditeur et du bibliothécaire dans la sélection et la mise en adéquation avec le lecteur me paraissent assez proche de ceux qu’ils endossent à l’heure actuelle. Alors, qu’est-ce qui change ? comment préserver un équilibre ? comment travailler de concert sans se parasiter ? Des nouvelles approches sont envisagées, font l’objet d’expériences et leurs résultats doivent être ensuite étudiés.


INDEX OR FOOTNOTE? HOW TO ENSURE THAT LIBRARIES POWER THE INFORMATION SOCIETY?

par Vincent Bonnet, director EBLIDA, The Hague (The Netherlands)

L’IFLA a élaboré une proposition de traité international sur les limitations et exceptions au copyright pour les bibliothèques et archives et a entrepris une campagne de promotion de ce traité auprès des États membres de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle.  EBLIDA soutient le projet au niveau européen. Alors que le copyright devient une question prégnante, notamment dans le monde numérique, il est important que les associations de bibliothèques et d’archivistes groupent leur force avec des associations travaillant sur des problématiques similaires ainsi qu’avec des associations de consommateurs. Le 30 mai 2012, plusieurs de ces associations organisent une conférence au Parlement européen afin d’attirer l’attention des décideurs politiques sur ce sujet.

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CLÔTURE

par Christopher Boon, président de l’ABD-BVD


RÉCEPTION

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Programme

MATIN

Modératrice : Evelyne Luctkens, project & bid manager International Organisations, I.R.I.S. Solutions & Experts S.A., Louvain-la-Neuve

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR), représenté par Marc D’Hoore,

et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2011

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OAI-PMH FOR DUMMIES : COMMENT METTRE EN PLACE UN DÉPÔT INSTITUTIONNEL AVEC DES RESSOURCES LIMITÉES ? UNE ÉTUDE DE CAS

par Patrice X. Chalon, knowledge manager, Centre fédéral d’expertise des soins de santé, Bruxelles

En 2006, le KCE, institution fédérale belge nouvellement créée, a évalué l’opportunité de mettre en place un dépôt institutionnel répondant au standard d’interopérabilité OAI-PMH. Dans cet exposé, nous décrivons comment et pourquoi, le KCE a développé un dépôt institutionnel au départ de son Système Intégré de Gestion de Bibliothèque (SIGB). Nous discutons également le défi que représente la mise en place de méta-dépôts (agrégateurs), avec deux exemples : belge et européen.

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PAUSE


LA BIBLIOTHÈQUE SUR TWITTER

par Wilma van den Brink,  informatiespecialist Maatschappij en Recht, Hogeschool Amsterdam (Pays-Bas)

Twitter semble le nouveau moyen miracle pour entrer en contact et forger des liens avec le groupe cible.  De ce fait le nombre de bibliothèques qui ouvrent un compte Twitter est en forte augmentation.  Mais ces espérances sont-elles atteintes ? La présentation traitera des idéaux et des résultats réels des bibliothèques nationales et internationales sur Twitter.  Ensuite on se concentrera sur les facteurs de succès du Musée Boerhave sur Twitter et l’on verra dans quelle mesure les bibliothèques peuvent tirer des leçons de l’approche virtuelle des clients par le monde du musée.  A la fin de la présentation, on esquissera une image réaliste de l’utilisation de Twitter comme moyen de communication par les bibliothèques à l’époque actuelle et l’on fournira des fils conducteurs pratiques pour le futur.

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LES NOUVEAUX USAGES NUMÉRIQUES : LES SERVICES QUESTIONS/RÉPONSES VIRTUELS

par Jean-Philippe Accart, directeur des études, Master of Advanced Studies in Archives, Library and Information Science, Universités de Berne et de Lausanne (Suisse)

L’usager numérique est une des composantes actuelles du paysage professionnel des  documentalistes et des bibliothécaires : de plus en plus présent sur Internet, il est essentiel qu’il trouve une réponse – virtuelle – si le besoin s’en fait sentir. Les services Questions/Réponses en ligne qui se développent à l’heure actuelle sont une réponse possible de la part des bibliothèques et des services de documentation et pourquoi pas d’archives. Poursuivre la relation de service créée avec l’usager de manière virtuelle est un des défis actuels pour les professions de l’information. Cette présentation aborde ces sujets, en dressant également un panorama de l’environnement numérique.

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LUNCH


APRÈS-MIDI

Modératrice : Sylvia Van Peteghem, hoofdbibliothecaris Universiteit Gent

REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

Lauréat : Benjamin Peiffer, Bachelier en bibliothéconomie à la Haute école de la Province de Liège

Titre du mémoire présenté : Mise à jour et révision de l’édition abrégée de la classification décimale universelle en vue d’une réédition.


“CLOUD COMPUTING” POUR LES BIBLIOTHÈQUES

par Annette Dortmund,  product manager OCLC,  Oberhaching (Allemagne)

De plus en plus d’applications deviennent disponibles, dans des domaines divers – le “cloud computing” est devenu une expression connue.  Mais est-il également utile pour les bibliothèques de mettre leurs systèmes de gestion et leurs données en ligne ? Quels avantages ce nuage offre-t-il lorsqu’il s’agit d’applications web pour la gestion de la bibliothèque ou les services aux utilisateurs?  Et quelles sont pour une bibliothèque les nouvelles opportunités de coopération et de réseau que cette technologie apporte ? La présentation donne une vue générale des développements et des considérations dans le domaine du “cloud computing” pour les bibliothèques et indique quels bénéfices cette nouvelle génération d’applications bibliothéconomiques peut nous offrir.

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PAUSE


CODES QR. UN GADGET OU UN NOUVEL OUTIL ?

par Philippe Allard, chef de projet GIAL, chargé de gestion site web de la Ville de Bruxelles, journaliste

Créé au Japon en 1994, le code QR se répand en Europe. S’agit-il d’un simple gadget dont usent les publicitaires et autres communicateurs pour attirer le geek ? Ou ce code 2D peut-il être concrètement utilisé dans nos bibliothèques et centres de documentation pour livrer une information enrichie ?

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CLÔTURE

par Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2011


QUAND L’INTERNET DES OBJETS RENCONTRE CELUI DES GENS, OU LES SERVICES « INVISIBLES » DE SYSTÈMES INTELLIGENTS

par Hans Appel, professor Computer Science & Sensor Technology, Hanze University of applied sciences, Groningen (Pays-Bas)

Nous sommes en 2011, nous laissons derrière nous la vieille et traditionnelle automatisation administrative et nous sommes ouverts à de nouvelles idées fraîches. De nos jours, chaque nouveau produit, chaque nouveau service contient à peu près un élément qui a à voir avec les technologies de l’information et de la communication. Nous fonçons de plus en plus vers un monde de systèmes intelligents et sensibles à l’environnement. Les ordinateurs pénètrent plus avant dans la capillarité de la société. Les ordinateurs reçoivent des sens, ils apprennent à sentir. Un monde de communautés et de foules (NOUS sommes plus futés que MOI), avec des senseurs et des déclencheurs. Un monde qui est agréable, attirant et où l’on se sent invité à être en contact avec la passion de l’orateur : « computer since ». Nous allons explorer ce monde. Regarder ce que l’on innove et comment, et ce que cela signifie pour nous tous. Pour nos occupations de tous les jours, mais aussi pour les possibilités futures. « Thinking out of the box » est le thème du jour !

Initialement prévu à 14h, l’exposé n’a pas pu avoir lieu.

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Programme

MATIN

Modératrice : Trudi Noordermeer, hoofdbibliothecaris Universiteit Antwerpen

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2010


FROM PRINT JUNGLE TO A NO SHELF LIBRARY – CREATING A HIGH PERFORMING LIBRARY FUNCTION THAT ADDS VALUE, DRIVES ORGANIZATIONAL CHANGE AND GENERATES SUCCESS

par Andrew Clark, group leader, UCB Library Services, Braine-l’Alleud

Strategic library planning and the need to maximize the value of both the content and the services delivered by the library is essential to ensuring that any specialist library doesn’t remain static but is an invaluable high performing asset to the corporation that continues to meet the growing information needs of library users and corporate executives.  During the last 18 months the UCB library function has strategically and successfully transitioned itself from being a static and somewhat archaic function to a dynamic value adding facility that is highly respected by all areas of the business. Find out how this has been achieved and be inspired by success.

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PAUSE


LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIRE DE LA K.U.LEUVEN ÉVALUE SA PRESTATION DE SERVICE

par Werner Beyens, teamleider, Publieke Diensten Centrale Bibliotheek K.U.Leuven

En 2008 la bibliothèque universitaire de la K.U.Leuven a invité tous les étudiants et les membres de son personnel à participer à l’enquête LibQUAL+.   Cette enquête qualité orientée bibliothèque mesurait la perception que les clients ont de ses produits et services.  L’information que nous récoltons grâce à cette enquête est précieuse lorsque nous élaborons les futurs services des bibliothèques en soutien à la recherche et à l’enseignement.

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LA BIBLIOTHÈQUE DE VLISSINGEN FAIT LA DIFFÉRENCE : LA MÉDIATION D’INFORMATION DANS LA SOCIÉTÉ GOOGLE

par Karolien Selhorst, beleidsmedewerker, Digitale Bibliotheek & Kennismanagement OB Vlissingen (Nederland), hoofdredacteur Digitale Bibliotheek, zelfstandig adviseur

La satisfaction des usagers semble généralement être la mesure de la qualité et de la pertinence des actions menées pour eux. L’exposé portera sur le concept même de la satisfaction : est-il aussi simple qu’il y paraît et traduit-il bien ce que l’on cherche à verifier ? Ensuite on examinera les principes des méthodes de la mesure de la satisfaction des usagers, leurs intérêts et leurs limites. Enfin des exemples d’études de satisfaction seront présentés ainsi que les conclusions que l’on peut en dégager.

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LUNCH


APRÈS-MIDI

Modérateur : Vincent Maes, président de l’ABD-BVD

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

Lauréate : Lorraine Smal, Bachelière en bibliothéconomie et documentation diplômée par la Haute Ecole Paul Henri Spaak (Bruxelles)

Titre du mémoire présenté : Situation de la lecture publique au Guatemala et analyse des résultats de l’enquête menée auprès de 24 bibliothèques soutenues par le projet Probigua.
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FORMER LES ÉTUDIANTS À LA MAÎTRISE DE L’INFORMATION : UN RÔLE MAJEUR DES BIBLIOTHÈQUES UNIVERSITAIRES. MAIS QUELS SONT LES ATTENTES EN LA MATIÈRE

par François Frédéric, Coordinateur du Groupe Formation des Utilisateurs, Archives et Bibliothèques de l’ULB, Bruxelles

Les bibliothèques universitaires se préoccupent depuis longtemps de la formation de leurs usagers à la maîtrise de l’information. Cette tâche connaît un essor important avec le développement des technologies de l’information et de la communication. Divers référentiels de compétences ont été publiés ces dernières années ; ils guident la construction des programmes de formation documentaire dans les universités. Cependant, la responsabilité de la formation n’incombe pas exclusivement aux seuls bibliothécaires, elle doit être partagée entre ceux-ci et les enseignants car la compétence documentaire est au cœur de la formation universitaire et ne se réduit pas à de simples aptitudes techniques. Compétence intellectuelle, méthodologique et technique, elle prend place dans le bagage attendu d’un universitaire diplômé. Mais quelles sont les attentes du monde professionnel en la matière ?

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UNE PROFESSION, DES MÉTIERS (PANEL)

Face à l’évolution rapide des technologies et des outils disponibles, va-t-on assister à un rapprochement, ou au contraire à une fragmentation plus accentuée, des différents métiers exercés par les profesionnels de l’information ? La numérisation croissante et de là, la dématérialisation des documents que nous traitons concernent-elles tous nos métiers de façon identique ? Nos différences se marqueront-elles davantage dans la nature des publics servis que dans l’exercice de nos métiers ? Quelles seront les conséquences de cette évolution sur nos besoins en formation ? Sommes-nous, gens de métier, ouverts aux rapprochements que nous offre la technologie ?

avec Katrien Bergé, Directrice, Bibliothèque universitaire Moretus Plantin (FUNDP), Namur
Stéphane Dessicy, Directeur, réseau des bibliothèques de Schaerbeek
Marie-Laurence Dubois, Coordinatrice, Centre de documentation et du centre d’archives privées, Etopia, Namur
Marjan Grootveld, Senior adviseur, onderzoeker, Zenc – Focus op oplossingen, Den Haag (Nederland)
Philippe Laurent, Coordinateur, EchosDoc, Bruxelles
Philippe Van Espen, Verantwoordelijke documentatie, Vivaqua, Bruxelles

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CLÔTURE

par Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2010


RÉCEPTION

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Programme

MATIN

Modérateur : Patrick Vanouplines, Hoofdbibliothecaris Vrije Universiteit Brussel

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Patrick Lefèvre, directeur général de la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

Vincent Maes, président de l’ABD-BVD,

et Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2009


INFORMER ET INSPIRER – PRENDRE L’INFORMATION AU SERIEUX

par Rik Maes, Hoogleraar informatie- en communicatiemanagement, Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas

Lors de la dernière décennie, nous avons été fort occupés à donner forme à la fourniture d’information.  Des développements récents dans l’informatique nous incitent à jouer un rôle plus proactif en tant que gestionnaires de l’information. Un vibrant plaidoyer pour “inspirer” plutôt que”informer” et une recherche basée sur la curiosité quant à la manière dont nous pouvons remplir ce nouveau rôle.

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PAUSE


LA NÉGOCIATION INFORMATIONNELLE ENTRE L’USAGER ET LE DOCUMENTALISTE-BIBLIOTHÉCAIRE

par Yves-François Le Coadic, Professeur émérite de Science de l’information au Conservatoire National des Arts et Métiers et responsable du Séminaire doctoral dans cette discipline à l’Université de Marne-la-Vallée, France

La satisfaction du besoin d’information des usagers des services d’information est l’alpha et l’oméga des métiers de l’information et de la documentation. Pour l’atteindre, une difficile négociation doit s’effectuer. On l’étudiera pas à pas à travers l’analyse des interactions informationnelles des usagers avec les documentalistes-bibliothécaires et/ou avec les systèmes électroniques d’information.

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LA SATISFACTION DES USAGERS

par René Patesson, Professeur à l’Université Libre de Bruxelles, Directeur du Centre de Psychosociologie de l’Opinion

La satisfaction des usagers semble généralement être la mesure de la qualité et de la pertinence des actions menées pour eux. L’exposé portera sur le concept même de la satisfaction : est-il aussi simple qu’il y paraît et traduit-il bien ce que l’on cherche à verifier ? Ensuite on examinera les principes des méthodes de la mesure de la satisfaction des usagers, leurs intérêts et leurs limites. Enfin des exemples d’études de satisfaction seront présentés ainsi que les conclusions que l’on peut en dégager.


LUNCH


APRÈS-MIDI

Modérateur : Paul Thirion, Directeur général du Réseau des bibliothèques de l’Université de Liège

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

(ex æquo)
Lauréate : Isabelle Debrichy, Bachelière en bibliothéconomie et documentation – Haute Ecole de Namur – Malonne
Titre du mémoire présenté : Projet de mise en place d’un centre de documentation au sein du Mouvement Wallon pour la Qualité : implantation et intégration de quelques outils bibliothéconomiques.
Lauréat : Thomas Bihay, Bachelier en bibliothéconomie et documentation – Haute Ecole de Namur – Malonne
Titre du mémoire présenté : EchosDoc : analyse critique d’un répertoire spécialisé en information et documentation : essai d’amélioration et de mise à jour.

LE NETWORKING SOCIAL COMME OUTIL D’INFORMATION BUSINESS

par Arthur Weiss, Managing partner, Aware, Stanmore, Middlesex, Royaume-Uni

Le public voit le networking social comme une activité de jeunes ou centrée sur les adolescents.  En fait, il y a plusieurs manières dont les entreprises peuvent bénéficier de tels outils.  Ceux-ci incluent les réseaux de groupes de pairs ainsi que beaucoup d’autres utilisations qui vont de la recherche de partenaires d’affaires aux chasseurs de tête chez les concurrents en passant par la recherche de marchés.  Il y a aussi des dangers, à la fois pour les sociétés et pour les participants au site.  Cependant les sites de networking social ne devraient pas être ignorés – ils risquent de devenir de plus en plus importants comme moyen de communication avec tous types de contact dans un futur proche.

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PAUSE


SPOETNIK

par Alice Doek, Hoofd informatiediensten, bibliotheek Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas

La bibliothèque de l’université d’Amsterdam a offert en 2008 à ses collaborateurs un cours online sur les nouvelles applications web sous le nom de Spoetnik.  C’était un arrangement propre de ”23things”.  Plusieurs dizaines de collaborateurs ont grâce à Spoetnik acquis une connaissance pratique et ont réfléchi à, entre autres, blogging, RSS, wikis, au bookmarking social et à la manière dont la bibliothèque peut utiliser ces techniques dans ses prestations de service.  Dans cette présentation, Alice Doek approfondira le programme Spoetnik et ce qu’il a généré.

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LA FORMATION À LA MAITRISE DE L’INFORMATION, SOCLE DES SOCIÉTÉS DU SAVOIR

par Abdelaziz Abid, Consultant UNESCO, Paris, France

Tout au long de la vie, plus on apprend et plus on connaît, mais surtout plus vite on maîtrise et acquiert des capacités, habitudes et attitudes d’apprentissage efficaces plus on maîtrise l’information. L’aptitude à utiliser ces capacités, habitudes et attitudes permet de prendre des décisions judicieuses sur les plans personnel et familial comme sur les plans de la santé et du bien-être, de l’éducation, de la citoyenneté et de l’emploi. La formation à la maîtrise de l’information constitue une compétence clé dans l’environnement changeant et compétitif du 21ème siècle. Elle constitue le socle des sociétés du savoir que l’UNESCO promeut depuis le Sommet mondial sur la société de l’information.

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CLÔTURE

par Marc Van den Bergh, coordinateur de l’Inforum 2009


RÉCEPTION

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Programme

MATIN

Modérateur : Julien Van Borm, bibliothécaire principal honoraire de l’Université d’Anvers

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

et Paul Heyvaert, président de l’ABD-BVD


FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUÉE: PRINCIPES ET BONNES PRATIQUES

par Jana Varlejs, professeur associé de la Rutgers School of Communication, Information and Library Studies (SCILS), New Jersey, États-Unis

Une section de l’FLA a rédigé un manifeste pour la qualité du développement professionnel et l’apprentissage sur le lieu de travail.  Il est maintenant nécessaire de trouver un moyen pour sécuriser l’engagement des professionnels de la documentation et des bibliothèques ainsi que de leurs institutions et associations, en faveur de ces recommandations et de leur implémentation.

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PAUSE


LA DÉMARCHE QUALITÉ DANS LES MÉTIERS DE L’INFORMATION: CONTRAINTE OU RESSOURCE

par Marc Impe, président du conseil d’administration du Service pour la transformation, l’innovation et le changement social (STICS), Bruxelles

Comment positionner une démarche qualité dans les métiers de l’information? Démarche normative ou souci du service clients?  « La petite maison de la grande qualité » : les piliers d’une démarche. Caler la démarche qualité sur le processus. L’implantation en douceur d’une démarche qualité.

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LA CARTE DE L’INFORMATION: L’INFORMATION COMME ÉLEMENT STRATÉGIQUE DE L’ORGANISATION

par Jan Van Hee, administrateur délégué, senior advisor de Maarifa, Berlare

La gestion de l’information d’une organisation devient de plus en plus complexe.  Au moyen de prouesses technologiques, on essaie d’offrir des solutions toutes faites.  La plupart de ces projets échouent parce que la réalisation d’un audit d’information a été négligée.  Des exemples nous conduisent à cet audit d’information qui se termine par une “carte de l’information” : un schéma qui permet la compréhension des besoins en information, des flux d’information et de leur stockage dans l’organisation.

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LUNCH


APRÈS-MIDI

Modérateur : Jean Moulin, directeur du Service d’Information Scientifique et Technique


LA CoP (communauté de pratique) OUTIL DE COLLECTE ET DE PARTAGE DES BONNES PRATIQUES 

par Jean-Louis Janssens, knowledge & communication manager, SUEZ University, Bruxelles

Le partage de la connaissance est de plus en plus impérieux dans un monde toujours plus global, plus concurrentiel, plus complexe. Quelles pistes privilégier dans les entreprises, organisations, associations pour faciliter l’échange des bonnes pratiques. Retour d’expérience de l’approche « CoP KM » conduite dans le groupe SUEZ.

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PAUSE


BONNES PRATIQUES POUR L’INFORMATION DES COLLECTIONS MUSÉALES

par Wilbert Helmus, chef de service de la gestion de collection et des connaissances du Friesch Museum et du Nationaal Keramiekmuseum Princessehof, Leeuwarden, Pays-Bas

Les musées disposent de riches quantités d’information et souhaitent que leur fourniture d’informations corresponde aux souhaits du public.  Quelles tendances apparaissent sur le terrain de l’information des collections de musées?  Quelle place les normes telles que PECTRUM-N prennent-elles dans les bonnes pratiques du terrain de l’héritage culturel?  On abordera aussi l’intérêt de la conservation des données et les différentes formes qu’elles peuvent prendre dans les musées.

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BONNES PRATIQUES POUR LA RÉALISATION D’UNE BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE

par Andrea Simmons, product manager d’ Integrated New Media (INM), Montréal, Canada

Un des plus grands défis que rencontrent aujourd’hui les gestionnaires de l’information est d’organiser et de présenter de très gros volumes d’information sur le web.  Cette session sera consacrée au rôle de la bibliothèque numérique qui met en ligne des contenus très importants pour que de nombreux utilisateurs puissent les utiliser et y effectuer des recherches.  Les principaux sujets couverts seront : les besoins de base, trucs et astuces, exemples et facteurs importants à prendre en compte.

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CLÔTURE


RÉCEPTION

 

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Programme

MATIN

ACCUEIL


INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

et Paul Heyvaert, président de l’ABD-BVD


UN APERCU DE QUELQUES NOUVELLES TECNHOLOGIES ET DE LEUR PERTINENCE POUR LES PROFESSIONNELS DE L’INFORMATION

par David Tebbutt, consultant indépendant, Royaume-Uni

David Tebbutt s’intéresse aux logiciels depuis plus de 40 ans et, en tant que journaliste s’adressant aux professionnels de l’information, il suit de près les nouveaux développements qui peuvent être intéressants pour la profession.  Mais qu’entend-t-on par « nouvelles technologies » ? David Tebbutt essaiera de répondre à cette question en nous donnant une vue d’ensemble des technologies à présent disponibles. Il nous expliquera également quels sont les avantages et les inconvénients de leur utilisation dans le cadre de bibliothèques ou de centres de documentation.

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UN REGARD CRITIQUE SUR LES NOUVELLES TECHNIQUES DE CLASSIFICATION

par Céline Van Damme, assistante de recherche, Studies in Mathematics, Operational research, Statistics and Information systems (MOSI), Vrije Universiteit Brussel

Le World Wide Web a connu une véritable explosion de publications ces dernières années. Cela complique fortement le processus de recherche d’information. Afin de résoudre ce problème, on voit de plus en plus apparaître de nouvelles techniques de classification sur le web: « folksonomies » et ontologies. Celles-ci seront expliquées pendant la présentation et comparées aux techniques de classification traditionnelles des documentalistes.

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PAUSE


DÉBAT

animé par Jean Michel, ingénieur consultant indépendant, Jean MICHEL Conseil, France


REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

Lauréate : Virginie Tacq, Bachelière en bibliothéconomie et documentation diplômée par la Haute Ecole Léon-Eli Troclet (Liège)

Titre du mémoire présenté : La classification de la Library of Congress : étude et adaptation à la Bibliothèque de Psychologie et des Sciences de l’Education de l’Université Catholique de Louvain.

LUNCH


APRÈS-MIDI


LA MATURITÉ DES LOGICIELS LIBRES DANS LE CADRE DES ORGANISATIONS AU SENS LARGE

par Diane Revillard, directrice de projets, Di&Mark

Le secteur de l’informatique connaît actuellement des mutations très significatives dans son mode de fonctionnement, ses marchés et ses offres. Ces bouleversements sont en grande partie induits par des logiciels libres. Longtemps confinés au monde scientifique et aux grandes administrations, l’organisation au sens large y a désormais recours car leur maturité n’est plus à prouver. Les logiciels libres s’inscrivent dans une stratégie durable de l’organisation : l’implication importante des acteurs majeurs de l’internet à leur égard renforce encore leur potentiel de développement.

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WEB 2.0 OU COMMENT UN RÉSEAU AIDE À COMBATTRE L’AVALANCHE D’INFORMATIONS QUE LES UTILISATEURS RECOIVENT

par Kristof Michiels, chercheur, Studies on Media, Information & Telecommunication (SMIT), Vrije Universiteit Brussel

Le Web 2.0 fait du public à la fois un producteur et un consommateur. Auparavant, la publication de contenu sur le web passait par un système de diffusion « one-to-many » (de un à plusieurs), via la communication d’informations à des individus. Le Web 2.0 fait davantage que fournir de l’information : il facilite un modèle conversationnel « many-to-many » (de plusieurs à plusieurs) entre individus, sans médiation rigide ou sans le contrôle d’organisations. Ceci permet de fournir une quantité importante de contenu généré par les utilisateurs. Pensons un instant à l’encyclopédie Wikipédia, créée par des utilisateurs finaux. Cette collaboration implicite entre utilisateurs est aussi employée dans de nombreux cas pour structurer l’offre et faciliter le plus possible le processus de recherche. Dans sa présentation, Kristof Michiels développera à l’aide de nombreux exemples la manière dont cela se passe dans le monde du Web 2.0. Il s’attardera également sur les possibilités et les conséquences que tout cela a pour les institutions traditionnelles telles que les bibliothèques et les centres de documentation.


PAUSE


DÉBAT

animé par Inge Van Nieuwerburgh, coordinatrice de la bibliothèque digitale, Universiteit Gent


ET NOUS DANS TOUT CA?

session interactive animée par Inge Van Nieuwerburgh, coordinatrice de la bibliothèque digitale, Universiteit Gent,

et Jean Michel, ingénieur consultant indépendant, Jean MICHEL Conseil, France.

Comment nous situons-nous par rapport à ces technologies ? Sont-elles à notre portée, nous qui ne sommes que de simples utilisateurs, généralement formés sur le tas, et simplement armés de notre curiosité professionnelle et d’un sens critique parfois exacerbé ? Nous reconnaissons-nous en ce documentaliste 2.0 ? S’agit-il toujours du même métier ? Ne sommes-nous pas les mieux placés pour donner un avis sur une profession en mutation perpétuelle? Partageons nos expériences, nos déceptions et nos espoirs aussi !


RÉCEPTION

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Programme

MATIN

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD,

et Vincent Maes, coordinateur de l’Inforum 2006


SERVICES D’INFORMATION ET CLIENTÈLES : LE RÔLE DU MARKETING

par Réjean Savard, professeur titulaire, École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI), Université de Montréal, Canada

Qu’est-ce vraiment que le marketing ? Comment peut-il aider les bibliothèques et les centres de documentation ? Comment l’utilise-t-on un peu partout dans le monde ? Quelles sont les implications de son utilisation pour les gestionnaires de services d’information ? Au programme : définitions, aspects théoriques, aspects pratiques. Un tour d’horizon du marketing des services d’information.

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DÉTERMINER LES BESOINS EN INFORMATION DANS LE CADRE D’UNE ENTREPRISE

par Mia Brugmans, Business Intelligence, Inbev

Un sondage pour déterminer les besoins en information d’une institution peut être une entreprise considérable, mais cela peut également être réalisé à une échelle déterminée ou consister en une suite de sondages de moindre importance. Quelles sont les principales raisons qui poussent à réaliser un tel sondage de nos jours ? L’organisation ou la ré-organisation de bibliothèque ou de service d’information, la gestion des connaissances, l’intranet, la gestion (électronique) des documents et des archives, la protection des données. Au moyen d’exemples, on montrera comment la théorie peut être mise en pratique.

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VERS UNE CERTIFICATION EUROPÉENNE DANS LE SECTEUR DE L’INFORMATION ET DE LA DOCUMENTATION : UN AVANTAGE POUR LE CLIENT (NL)

par Marc Van den Bergh, administrateur de l’ABD-BVD, membre du jury CERTIDOC

Dans plusieurs pays européens, il existe une tendance à valider les compétences professionnelles, et à ne plus se baser uniquement sur le diplôme. Pour une partie importante du secteur de l’information et de la documentation, le Consortium CERTIDOC a finalisé un Euroréférentiel, applicable dans plusieurs pays européens. L’Association Belge de Documentation y a collaboré et participe aux jurys de certification de différents niveaux (assistant, technicien, manager, expert).

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PAUSE


DÉBAT

animé par Dirk Van Eylen, conseiller en gestion des connaissances, Service Public Fédéral Personnel et Organisation – Gestion des connaissances


LUNCH


APRÈS-MIDI


LA VISIBILITÉ ET LE MARKETING DE LA DOCUMENTATION EN SANTÉ

par Llewellyn Losfeld, documentaliste-webmaster au FARES (Fonds des Affections RESpiratoires)

Depuis des décennies maintenant, les centres de documentation et les bibliothèques spécialisés en santé font partie du quotidien des chercheurs et des étudiants. Face à l’instabilité liée au manque de financement se retrouve néanmoins une qualité intrinsèque à notre profession et (presque) inépuisable : notre souhait constant de susciter l’apprentissage des connaissances des utilisateurs. De cette envie naît la volonté commune de développer et d’enrichir nos expériences via des réseaux documentaires. Mais entre cet idéal et la réalité du quotidien existe un énorme fossé. Si la visibilité est bel et bien nécessaire, la reconnaissance et le succès qu’elle peut générer entraînent parfois des difficultés. Face aux nombreux changements affectant son environnement, le bibliothécaire doit perpétuellement se remettre en question.

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GAGNER DES CLIENTS, UNE QUESTION DE CHOIX !

par Bart van der Meij, directeur de projets, Reekx, Pays-Bas

L’environnement dans lequel opèrent les bibliothèques, les centres de documentation ou d’information devient de plus en plus complexe, avec davantage de concurrence, de nouvelles techniques, de clients qui s’émancipent etc. Tout ceci entraîne des conséquences importantes pour la position du service au sein de son institution ou de son marché. Le positionnement et les attentes en matière de prestations sont remis en question. Dans beaucoup de cas, on s’aperçoit qu’existent, ou qu’apparaissent, le besoin d’un service nouveau ou renouvelé, l’envie de produits et de services autres ou améliorés, de nouveaux processus de travail, de nouveaux groupes-cibles ou marchés et surtout des spécialistes de l’information d’un autre genre. En fonction de différents thèmes de marketing et d’exemples tirés de sa pratique comme consultant, Bart van der Meij vous aide à trouver vous-même le bon chemin; il éclaire les concepts du marketing orienté client, il joue l’avocat du diable et confronte les auditeurs à leur propre clientèle.

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PAUSE


CLIENT DIFFICILE ? QUE SE PASSE-T-IL ?

par Marc De Tienne, learning advisor au FOPAS, Fonds de promotion de l’emploi et de la formation dans le secteur de l’assurance, formateur de Junior Chamber International (JCI)

“Cela fait trois semaines que j’attends la documentation que vous m’aviez promise dans ‘les trois jours’ !!” Incompréhension ? Malentendu ? Mauvaise foi ? Au cours de cet exposé, nous examinerons les différents types de clients difficiles et les raisons qui nous les font passer pour tels. La prise de conscience de la nature du décalage entre le client et nous, nourrira les pistes de solution pour établir une relation plus harmonieuse. Nous verrons donc les outils et les étapes de communication utiles pour aider progressivement le client à revenir sur une position plus appropriée à la discussion.

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VERS UNE CERTIFICATION EUROPÉENNE DANS LE SECTEUR DE L’INFORMATION ET DE LA DOCUMENTATION : UN AVANTAGE POUR LE CLIENT (FR)

par Isabelle Somville-Cornet, administratrice de l’ABD-BVD, membre du jury CERTIDOC

Dans plusieurs pays européens, il existe une tendance à valider les compétences professionnelles, et à ne plus se baser uniquement sur le diplôme. Pour une partie importante du secteur de l’information et de la documentation, le Consortium CERTIDOC a finalisé un Euroréférentiel, applicable dans plusieurs pays européens. L’Association Belge de Documentation y a collaboré et participe aux jurys de certification de différents niveaux (assistant, technicien, manager, expert).

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DÉBAT

animé par Michel Dorban, professeur; responsable de la section bibliothèques, maîtrise en science et technologies de l’information, UCL


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Programme

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD


ENTERPRISE CONTENT MANAGEMENT, HYPE OU RÉALITÉ ?

par Peter Hinssen, Business Consultancy, Amplexor

Alors que les gestionnaires d’entreprises s’enthousiasment pour l’Enterprise Content Management (ECM), les spécialistes de l’information s’interrogent. S’agit-il d’un nouveau paradigme ou du énième avatar des systèmes d’information qui leur sont familiers ? Ont-ils un rôle à jouer ? Peuvent-ils utilement faire valoir leurs compétences ? Peter Hinssen explore les différents aspects de l’ECM et nous éclaire sur les concepts que cache ce terme générique.


SÉLECTION ET ÉVALUATION DE SYSTÈMES DOCUMENTAIRES

par Vincent Maes, Business Consultant, Alliance Nationale des Mutualités Chrétiennes

Pourrions-nous satisfaire les utilisateurs de nos services d’information sans système documentaire ? Le système parfait n’existant pas, il s’agit de réduire autant que possible le risque de mauvais choix lors du long processus de sélection et d’évaluation. Sur base de l’expérience acquise lors de plusieurs projets, l’orateur en présentera une analyse détaillée des différentes étapes. Il en dégagera des recommandations pratiques pour ceux qui projettent d’adopter ce parcours.

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PAUSE


DÉBAT

animé par Marcel Roofthoofd, président BELAIIM


REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

Lauréate : Aude Alexandre, DES en Sciences et Technologies de l’Information – Université libre de Bruxelles – Section Infodoc

Titre du mémoire présenté : Évaluation des apports d’une ontologie au niveau de l’exploitation et de l’organisation de la connaissance, comparaison avec les possibilités d’un thesaurus.

LUNCH


APRÈS-MIDI


LES NOUVELLES TENDANCES DES LANGAGES DOCUMENTAIRES

par Ron Davies, expert conseil indépendant

Les nouvelles applications de gestion d’information, la mondialisation de la société de l’information, la vaste gamme de ressources disponibles sur Internet et le rêve de créer un web sémantique: toutes ces évolutions ont créé de nouveaux besoins et ont fortement changé la donne pour les langages documentaires. De nouveaux types d’outils ont donc été créés, telles les taxonomies et les ontologies. L’intervenant expliquera quelle est l’influence de ces tendances sur les activités de développement ou de révision des normes nationales et internationales.

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THESAURI, ONTOTHESAURI: LEUR CONSTRUCTION, LEUR MAINTENANCE ET LEUR UTILISATION

par Fernand Vandamme, The Babbage Institute for Knowledge and Information Technology (BIKIT)

L’auteur donnera un aperçu des nouveaux développements dans le domaine de la gestion du contenu, qui se basent sur une approche “thesauri” et “ontothesauri”. Quelques démonstrations mettront l’accent sur la construction, la maintenance et l’utilisation de ces systèmes.

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PAUSE


EUROVOC, THÉSAURUS MULTILINGUE: MAINTENANCE ET ASPECTS PRATIQUES

par Isabelle Gautier, Comité de maintenance Eurovoc, Parlement Européen

Eurovoc, thésaurus multilingue développé par le Parlement européen, est devenu un outil documentaire de plus en plus prisé. Cet exposé présentera le thésaurus, ses spécificités et sa maintenance ainsi que son utilisation quotidienne dans le cadre de la bibliothèque du Parlement européen.

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DÉBAT

animé par Corentin Roulin, Retail Business Information Manager, La Poste


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Programme

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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD


SENS ET NON-SENS DE LA GESTION DES COMPÉTENCES

par Dick De Bie, conseiller didactique et publiciste, BDF Adviesgroep, Pays-Bas

D’où vient cet intérêt pour les compétences ? – Que sont au juste les compétences aujourd’hui ? – Quels en sont la raison et le non-sens ? – Que recouvrent les compétences dans l’enseignement professionnel ? – Quelles sont les conséquences pratiques des compétences pour l’apprentissage et l’enseignement (avec des exemples tirés de la formation de spécialistes de l’information et de documentalistes) ?

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ÉVALUATION, GESTION ET DÉVELOPPEMENT DES COMPÉTENCES

par Monique Watelet et Elisabeth De Vos, business consultants, Mercuri Urval

Les personnes constituent la principale ressource d’une entreprise ou d’une organisation. C’est d’ailleurs la seule ressource capable de créer des résultats. Au cours des 30 dernières années, Mercuri Urval a évalué des centaines de milliers de personnes dans le cadre d’une fonction particulière ou en relation avec le développement d’une entreprise ou d’une organisation. L’intervention portera sur l’expertise développée par Mercuri Urval en matière d’évaluation, de gestion de la dynamique des fonctions et des individus, et de développement des compétences.


PAUSE


DÉBAT

animé par Dirk De Beukelaer, Information Center Manager, Agfa-Gevaert


REMISE DU PRIX DE L’ASSOCIATION BELGE DE DOCUMENTATION

par Isabelle Somville-Cornet, présidente du jury du prix ABD-BVD

Lauréat : Bruno Vermeeren, Universiteit Antwerpen – Informatie- & Bibliotheekwetenschap

Titre du mémoire présenté : De constructie van een geïntegreerde thesaurus voor gebruik in een vrije-tekstomgeving.

LUNCH


APRÈS-MIDI


LES PROFILS DE COMPÉTENCES PROFESSIONNELLES DANS LE SECTEUR DE LA FOURNITURE D’INFORMATION

par Anne Roose et Leen Verachtert, collaboratrices aux profils professionnels, Sociaal-Economische Raad van Vlaanderen (SERV)

Depuis 1997, le SERV développe des profils de compétences professionnelles et, depuis 2000, des structures de professions selon une méthode développée scientifiquement et suivant un accord de collaboration avec des partenaires sociaux et des fonds d’études sectoriels, ainsi que, parfois, avec les associations professionnelles et les commissions sectorielles du SERV. Pour le secteur de la fourniture d’information aussi, une structure professionnelle et 4 profils de compétences ont été développés en 2002 et 2003. Ceux-ci seront présentés sur base de la méthodologie d’élaboration de profils professionnels.

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PROFESSIONNELS DE L’INFORMATION ET DOCUMENTATION EN ESPAGNE : LE CHEMIN VERS LE SYSTÈME EUROPÉEN DE CERTIFICATION DE CERTIDOC

par Carlos Miguel Tejada Artigas, membre du comité de direction de la SEDIC (Sociedad Española de Documentación e Información Científica), représentant dans le projet CERTIDOC, Espagne

La SEDIC est une des plus importantes associations du domaine en Espagne. Depuis 1997, elle procède à travers son Service de Certification à la certification des professionnels de l’information et la documentation. Après une brève présentation de la procédure à suivre pour évaluer les connaissances des candidats (différents règlements, prérequis que doivent avoir les demandeurs, les barèmes, les organismes de certification, etc.), le point sera fait sur l’expérience acquise par la SEDIC pendant ces six années en présentant le nombre de personnes certifiées, le niveau auquel les professionnels ont postulé, le profil des demandeurs de certification, etc. En conclusion seront abordées les attentes de la SEDIC concernant le projet européen de certification CERTIDOC.

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PAUSE


TECHNOLOGIES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION (TIC) ET MÉTIERS EN ÉMERGENCE

par Marc Zune, chercheur, Laboratoire d’Etudes sur les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (LENTIC), Université de Liège

Depuis quelques années, les Technologies d’Information et de Communication (TIC) ont fortement contribué à modifier les manières traditionnelles de réaliser un certain nombre d’activités professionnelles. Le secteur de l’édition et de la documentation a ainsi été particulièrement affecté par cette évolution. Car les TIC ne sont pas seulement porteuses de nouvelles combinaisons de connaissance, de compétences et de caractéristiques de champs professionnels autrefois considérés comme distincts. Elles contribuent également à transformer les rapports à l’organisation et au marché du travail. L’intervention portera précisément sur cette thématique de l’émergence de “nouvelles logiques professionnelles” liées au développement des TIC en décrivant les spécificités, les processus ainsi que les enjeux qu’elles représentent en termes de formation.

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DÉBAT

animé par Jean-Michel Rauzier, éditeur, Le Documentaliste


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INTRODUCTION ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE

par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR),

et Philippe Laurent, président de l’ABD-BVD


LA PLACE DE L’INFORMATION DANS L’ÉCONOMIE : LA QUESTION DE LA VALEUR AU CENTRE DES ENJEUX

par Daniel Confland, Directeur du développement, Groupe Jouve, France

L’information apparaît aujourd’hui comme un discriminant concurrentiel fort entre les entreprises et les organisations. Or, la valeur économique de l’information fait toujours débat, et la faisabilité de sa mesure encore plus ! Parce qu’entre autres difficultés l’information n’a pas de valeur en soi en dehors de l’usage qui en est fait, le rapport coût-efficacité a toujours été d’un maniement délicat et sujet à controverses. Face à des interrogations autant doctrinales qu’opératoires, c’est la progression nécessaire de l’utilisation pertinente de l’information comme arme de développement et de compétitivité économiques qui risque de se trouver posée. Rien de surprenant donc à ce que la question de la valeur prenne aujourd’hui dans le champ d’analyse plus vaste de l’économie de l’information une place déterminante.

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LE JUSTE PRIX DE L’INFORMATION : SON CALCUL ET SA REFACTURATION INTERNE DANS UNE ENTREPRISE MULTINATIONALE

par Christian Thiriaux, Development Manager, Intellectual Assets Management, Solvay SA

Dans les entreprises, les centres de documentation et bibliothèques sont de plus en plus souvent mis en concurrence avec des services commerciaux extérieurs. Leur reconnaissance passe par la valeur ajoutée qu’ils apportent mais aussi par la transparence des coûts :
– calcul d’un juste prix pour un rapport qualité/prix concurrentiel, admis par l’ensemble des clients internes, comprenant l’identification et la justification claires des différentes composantes pour chaque gamme de services proposés ;
– un système de refacturation interne, adapté à la structure de la société et basé sur des tarifs clairement définis, privilégiant la facturation à la transaction (« pay as you use ») par rapport à une facturation forfaitaire avec clé de répartition ;
– une sensiblisation des coûts auprès des différents acteurs (professionnels de l’information et utilisateurs finals) : toute information a un coût, mais il peut être maîtrisé!
– un budget équilibré.
Les modèles appliqués par le Département « Technical Information » de SOLVAY sont présentés à titre d’exemples (revues de presse scientifiques, recherches bibliographiques, accès aux documents primaires).

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PAUSE


LIBECON, UNE ÉTUDE DE L’ÉCONOMIE INTERNATIONALE DES BIBLIOTHÈQUES

par Pascale Van Dinter, Collaboratrice scientifique du Service d’Information Scientifique et Technique (SIST)

LibEcon est un projet européen qui a pour but de collecter les statistiques relatives aux bibliothèques par pays et de manière uniforme, et de publier ces données normalisées sur le site Internet du projet LibEcon. Les statistiques LibEcon sont basées sur les normes ISO2789 (International Standard on Library Statistics) et ISO1162 (Library Performance Indicators), fruit du travail de l’IFLA et de l’UNESCO. En Belgique, le Service fédéral d’Information Scientifique et Technique (SIST) coordonne la collecte des données pour la Bibliothèque Royale, les bibliothèques publiques, les bibliothèques des institutions d’enseignement supérieur et les bibliothèques spéciales. Le SIST travaille également en collaboration avec les coordinateurs des domaines. Lors de cette présentation, les sujets suivants seront abordés :
– l’importance des statistiques de bibliothèques ;
– les objectifs du projet LibEcon ;
– le point sur la question au niveau de la Belgique ;
– le point sur la question au niveau mondial.

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DÉBAT

animé par Willy Vanderpijpen, chef de département à la Bibliothèque royale de Belgique (KBR)


LUNCH


APRÈS-MIDI


LES LICENCES DE CONSORTIUM : DANS QUELLE MESURE LES ACCORDS SONT-ILS INTÉRESSANTS ?

par Veerle Kerstens, analyste fonctionnelle, service informatique de la bibliothèque LIBIS ; coordinatrice Vlaams Overlegorgaan Wetenschappelijk Bibliotheekwerk (VOWB)

Dans le contexte de l’offre sans cesse grandissante en information électronique, et celui d’une courbe non moins ascendante des prix de ces sources, les bibliothèques scientifiques sont de plus en plus à la recherche de nouveaux modèles économiques pour l’accroissement de leur fonds. Il est de plus en plus difficile d’offrir à l’utilisateur final l’accès à toutes les sources pertinentes dans son domaine. En se rassemblant en consortium, les bibliothèques peuvent renforcer leur poids dans la négociation, et ainsi revendiquer de meilleures conditions de prix et de licences. De leur côté, les fournisseurs d’information perçoivent également des avantages dans les accords de consortium, notamment comme un moyen d’assurer (au minimum) leurs revenus. Habituellement, l’accord consiste aussi en un élargissement de l’offre d’information en échange d’un supplément relativement minime de prix par rapport à la dépense totale des membres du consortium. Cette présentation aborde un certain nombre de modèles économiques pour les contrats de consortium, notamment sur la base de l’expérience du projet du VOWB « Elektron ». Quels sont les avantages et les inconvénients des propositions actuelles des fournisseurs d’information pour les bibliothèques ? Dans quelle mesure resteront-elles applicables dans le futur ?

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OPTIMISER LE RAPPORT COÛT-VALEUR DE L’INFORMATION PAR UNE MAÎTRISE DE LA PERTINENCE DES INFORMATIONS FOURNIES

par Muriel Hustin, Responsable des achats d’informations, Dexia Banque

Le contexte de la réduction drastique des coûts nous a amené à repositionner stratégiquement la documentation dans l’entreprise. Le « Management par la valeur », ou comment mettre en relation les services d’information et leurs coûts, nous a permis d’améliorer notre compétitivité en adaptant de manière très précise nos produits aux besoins des usagers.

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PAUSE


COMBIEN L’INFORMATION GRATUITE COÛTE-T-ELLE À VOTRE ORGANISATION ?

par Peter Rosenbrand, Directeur, COBIDOC bv, Pays-Bas

L’information gratuite existe-t-elle vraiment, et, dans l’affirmative, dans quelle mesure est-elle utile ? Dans cette intervention, nous allons nous concentrer sur l’information importante pour la profession et l’entreprise. Certains utilisateurs souhaitent ne pas payer pour l’information, car on peut tout trouver sans frais sur Internet. Cette idée peut avoir des conséquences très coûteuses pour l’entreprise. Une autre opinion est que l’information devrait être gratuite. Cette discussion est surtout vive parmi les scientifiques, qui remettent en question le rôle des éditeurs scientifiques. Une troisième opinion est que l’information devrait en tout cas être gratuite pour l’utilisateur. En vérité, tout le monde convient que l’information n’est pas gratuite, mais semble gratuite. Celle-ci doit toujours être payée, même si ce n’est pas par l’utilisateur lui-même. Dans cette présentation, nous traiterons des contradictions entre information gratuite et information payante, de la question de savoir pourquoi l’information devrait être payante, pourquoi on accepte volontiers de payer pour l’information, et pourquoi, dans certains cas, l’information gratuite est considérée comme suspecte. Manifestement, l’idée persiste qu’on peut boire gratuitement, mais que quelqu’un d’autre paiera la note. L’expression typiquement hollandaise « goedkoop is duurkoop » prévaut ici aussi. Les différents aspects de l’opposition entre information gratuite et information payante seront aussi abordés, illustrés par les exemples indispensables.

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DÉBAT

animé par Simone Jérôme, convervatrice honoraire, Bibliothèque des Sciences, Université de Liège


par Marc Vandeur, président du jury du prix ABD-BVD

Lauréate : Liesbeth Baaten, Gegradueerde in het Bibliotheekwezen en de documentaire informatiekunde- CVO Pestalozzi – Antwerpen

Titre du mémoire présenté : Aanbevelingen voor een conserveringsbeleid voor geluidsarchief aan het stadsarchief Antwerpen.

RÉCEPTION